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16 ans +
Fragments de ciels raconte l’adolescence d’un jeune Franco-Ontarien gai qui trouve refuge dans l’alcool, la drogue et le sexe avant d’être sauvé par les arts et plus particulièrement la poésie. Au fil du recueil, le narrateur s’interroge sur le sens de l’existence, l’amour, l’amitié et l’identité. Il revient sur différents épisodes de sa vie afin de surmonter ses traumatismes, de faire la paix avec son passé et de s’accepter.
Thématiques principales et secondaires: l’adolescence (l’homosexualité, les relations amoureuses, l’amitié, les excès et l’autodestruction), l’importance de la poésie, le vide et la quête de sens
16 ans +
Un adolescent vivant dans un quartier démuni d’Ottawa rêve de traverser la rue pour habiter dans les beaux quartiers. Mais avec une mère absente et un père alcoolique, il n’est pas près d’y arriver. Le narrateur se fait alors une promesse : il va tout faire pour devenir riche et passer de Vanier, le quartier défavorisé qui l’a vu grandir, à l’opulence des grandes maisons de Parc Rockcliffe. Grâce à sa détermination, il va prendre sa vengeance sur le passé. Un texte sans concession.
Thématique principale : la quête initiatique
Thématiques secondaires : le rapport entre les classes sociales, la sexualité, les relations amoureuses, l’éducation, les voyages
Thématiques secondaires : le rapport entre les classes sociales, la sexualité, les relations amoureuses, l’éducation, les voyages
16 ans +
Quarante ans plus tard, Médor se souvient de sa jeune vingtaine, moment où il a quitté son village de Banza pour s’installer à Kinshasa dans le but de réaliser son plus grand rêve : celui d’intégrer le groupe musical le plus populaire du Zaïre, Zaïko Langa-Langa. Il raconte le chemin initiatique parcouru alors qu’il était
à la recherche de gloire et de fortune. Son immersion kinoise n’a pas été des plus faciles. Joies, complices, déboires et adversaires ont parsemé son itinéraire tout en contribuant à la grande métamorphose qui a fait de lui l’homme qu’il est aujourd’hui, et qui habite New York.
Le « Combat du siècle » qui a eu lieu au Zaïre le 30 octobre 1974 sert de toile de fond à ce roman à la fois historique et psychologique. L’événement de portée mondiale a marqué non seulement l’histoire du peuple noir, mais tout particulièrement le passage de Médor à Kinshasa, le héros des coulisses de ce combat mythique en terre africaine.
Le « Combat du siècle » qui a eu lieu au Zaïre le 30 octobre 1974 sert de toile de fond à ce roman à la fois historique et psychologique. L’événement de portée mondiale a marqué non seulement l’histoire du peuple noir, mais tout particulièrement le passage de Médor à Kinshasa, le héros des coulisses de ce combat mythique en terre africaine.
Thématique principale et thématiques secondaires : boxe, musique, politique
6 à 9 ans
William, son ami Frédéric, son frère Samuel et leur copine Leslie ont aménagé un repaire au milieu d’un champ dans un quartier résidentiel. Ils y ont apporté du matériel de communication, de surveillance et d’écoute à distance.
Fred part une semaine au camp des débrouillards. Le matin du départ, William, triste, se rend au repaire, appelé «la base». Grâce à l’un des appareils, il entend une conversation téléphonique entre deux malfaiteurs. Or, quelque temps avant, un vol de tableaux a été perpétré à la bibliothèque municipale. Will en déduit que l’échange dont parlent les deux hommes au téléphone est celui des œuvres d’art. Avec son frère et Leslie, ils cherchent à trouver la provenance de la communication. Mais, avant d’aller informer la police, ils veulent ramasser assez de preuves. Ils surprennent alors une autre conversation: cette fois, les deux hommes se donnent rendez-vous.
Après bien des aventures, des mensonges et des entourloupettes, William se rend au rendez-vous avec son système d’espionnage et son appareil photo pour obtenir des preuves supplémentaires. Il se rend alors compte que la marchandise à échanger n’est pas une œuvre d’art, mais une fillette apeurée. La présence de William sur les lieux de l’échange est détectée. Le jeune garçon échappe aux malfaiteurs. Chez lui, le lendemain matin, il apprend que sa petite sœur a disparu. Il part à sa recherche, la trouve, mais le ravisseur les surprend. William se bat contre le malfaiteur, ce qui retarde sa fuite et donne à la police – qu’il a prévenue durant la nuit – le temps d’arriver sur les lieux. Les parents de William félicitent leur fils de son courage, mais ils le punissent aussi, lui qui croyait s’en sortir avec une «sentence réduite».
Fred part une semaine au camp des débrouillards. Le matin du départ, William, triste, se rend au repaire, appelé «la base». Grâce à l’un des appareils, il entend une conversation téléphonique entre deux malfaiteurs. Or, quelque temps avant, un vol de tableaux a été perpétré à la bibliothèque municipale. Will en déduit que l’échange dont parlent les deux hommes au téléphone est celui des œuvres d’art. Avec son frère et Leslie, ils cherchent à trouver la provenance de la communication. Mais, avant d’aller informer la police, ils veulent ramasser assez de preuves. Ils surprennent alors une autre conversation: cette fois, les deux hommes se donnent rendez-vous.
Après bien des aventures, des mensonges et des entourloupettes, William se rend au rendez-vous avec son système d’espionnage et son appareil photo pour obtenir des preuves supplémentaires. Il se rend alors compte que la marchandise à échanger n’est pas une œuvre d’art, mais une fillette apeurée. La présence de William sur les lieux de l’échange est détectée. Le jeune garçon échappe aux malfaiteurs. Chez lui, le lendemain matin, il apprend que sa petite sœur a disparu. Il part à sa recherche, la trouve, mais le ravisseur les surprend. William se bat contre le malfaiteur, ce qui retarde sa fuite et donne à la police – qu’il a prévenue durant la nuit – le temps d’arriver sur les lieux. Les parents de William félicitent leur fils de son courage, mais ils le punissent aussi, lui qui croyait s’en sortir avec une «sentence réduite».
Thématique principale : La diversité culturelle
Thématiques secondaires : les voyages, les communautés culturelles, le respect, les chocs culturels
Thématiques secondaires : les voyages, les communautés culturelles, le respect, les chocs culturels
14 ans +
Frédéric a 16 ans. Il vit avec sa mère. L’adolescent a deux passions: le dessin et madame Bénezet, son enseignante de français fraîchement arrivée de France. Son monde, jusqu’à présent bien construit, bascule alors que lui revient progressivement un souvenir douloureux, une scène tellement aberrante qu’il l’avait refoulée au tréfonds de son subconscient. Pendant qu’il tente de se réconcilier avec le terrible événement, l’adolescent se retrouve involontairement mêlé à un réseau criminel. Qui sont les gens qui l’entourent? Madame Bénezet estelle impliquée dans ce qui se trame ? Elle passe beaucoup de temps avec le concierge de l’école, un homme aux agissements équivoques…
Thématique principale : la quête identitaire
Thématiques secondaires : les médias sociaux, la famille (les conséquences du divorce, les rapports intergénérationnels), le choc post-traumatique, le suicide, la langue française, la criminalité, le deuil
Thématiques secondaires : les médias sociaux, la famille (les conséquences du divorce, les rapports intergénérationnels), le choc post-traumatique, le suicide, la langue française, la criminalité, le deuil
14 ans +
V. a la trentaine et est documentaliste pour un journal. L’immatérialité du quotidien l’éloigne du réel, elle cherche la tranquillité et ne veut plus être maîtresse de son destin. Elle engage alors Thomas, un auteur de bande dessinée, qui va prendre en mains la vie de la jeune femme. Pendant 365 jours, V. devra suivre à la lettre le scénario que Thomas a écrit. Chaque heure, chaque minute est organisée. V. n’aura plus à penser, elle n’aura qu’à suivre cet agenda qui enfin rend la vie pour elle plus tangible. La réalité et la fiction s’entremêlent, ce jeu de rôle va-t-il aider V. à découvrir qui elle est et à reprendre le contrôle de sa vie ?
Thématique principale : Le rapport au réel
Thématiques secondaires : la quête de soi, la place de l’inconscient, le libre arbitre, le déterminisme, l’anomie
Thématiques secondaires : la quête de soi, la place de l’inconscient, le libre arbitre, le déterminisme, l’anomie
9 à 12 ans
William, son ami Frédéric, son frère Samuel et leur copine Leslie ont aménagé un repaire au milieu d’un champ dans un quartier résidentiel. Ils y ont apporté du matériel de communication, de surveillance et d’écoute à distance.
Fred part une semaine au camp des débrouillards. Le matin du départ, William, triste, se rend au repaire, appelé «la base». Grâce à l’un des appareils, il entend une conversation téléphonique entre deux malfaiteurs. Or, quelque temps avant, un vol de tableaux a été perpétré à la bibliothèque municipale. Will en déduit que l’échange dont parlent les deux hommes au téléphone est celui des œuvres d’art. Avec son frère et Leslie, ils cherchent à trouver la provenance de la communication. Mais, avant d’aller informer la police, ils veulent ramasser assez de preuves. Ils surprennent alors une autre conversation: cette fois, les deux hommes se donnent rendez-vous.
Après bien des aventures, des mensonges et des entourloupettes, William se rend au rendez-vous avec son système d’espionnage et son appareil photo pour obtenir des preuves supplémentaires. Il se rend alors compte que la marchandise à échanger n’est pas une œuvre d’art, mais une fillette apeurée. La présence de William sur les lieux de l’échange est détectée. Le jeune garçon échappe aux malfaiteurs. Chez lui, le lendemain matin, il apprend que sa petite sœur a disparu. Il part à sa recherche, la trouve, mais le ravisseur les surprend. William se bat contre le malfaiteur, ce qui retarde sa fuite et donne à la police – qu’il a prévenue durant la nuit – le temps d’arriver sur les lieux. Les parents de William félicitent leur fils de son courage, mais ils le punissent aussi, lui qui croyait s’en sortir avec une «sentence réduite».
Fred part une semaine au camp des débrouillards. Le matin du départ, William, triste, se rend au repaire, appelé «la base». Grâce à l’un des appareils, il entend une conversation téléphonique entre deux malfaiteurs. Or, quelque temps avant, un vol de tableaux a été perpétré à la bibliothèque municipale. Will en déduit que l’échange dont parlent les deux hommes au téléphone est celui des œuvres d’art. Avec son frère et Leslie, ils cherchent à trouver la provenance de la communication. Mais, avant d’aller informer la police, ils veulent ramasser assez de preuves. Ils surprennent alors une autre conversation: cette fois, les deux hommes se donnent rendez-vous.
Après bien des aventures, des mensonges et des entourloupettes, William se rend au rendez-vous avec son système d’espionnage et son appareil photo pour obtenir des preuves supplémentaires. Il se rend alors compte que la marchandise à échanger n’est pas une œuvre d’art, mais une fillette apeurée. La présence de William sur les lieux de l’échange est détectée. Le jeune garçon échappe aux malfaiteurs. Chez lui, le lendemain matin, il apprend que sa petite sœur a disparu. Il part à sa recherche, la trouve, mais le ravisseur les surprend. William se bat contre le malfaiteur, ce qui retarde sa fuite et donne à la police – qu’il a prévenue durant la nuit – le temps d’arriver sur les lieux. Les parents de William félicitent leur fils de son courage, mais ils le punissent aussi, lui qui croyait s’en sortir avec une «sentence réduite».
La complicité, l’amitié et le courage.
14 ans +
Les douze nouvelles d’On n’sait jamais à quoi s’attendre présentent une vision tragi-comique des enjeux auxquels font face les Canadiens au XXIe siècle. Au fil des textes, les lecteurs découvrent une galerie de personnages – jeunes enfants, grands-parents, immigrants, hommes, femmes, animaux et même un arbre – qui sont confrontés à des choix difficiles ou à des épreuves inattendues. Leurs décisions auront une incidence décisive sur leur vie, pour le meilleur et pour le pire. De par leur caractère profondément humain, ces nouvelles interpellent les lecteurs et les incitent à réfléchir à l’injustice sociale, aux préjugés et à la responsabilité de tout un chacun d’assumer les conséquences de ses gestes.
L’imprévu, les rapports intergénérationnels, les relations de couple, l’entraide, l’intimidation en milieu scolaire, l’envie, la précarité, les préjugés
12 ans +
Alain Laflamme est un adolescent plein d’idées et d’énergie. Mais à la maison, les choses ne vont pas très bien : son père est sans emploi depuis la fermeture de la mine, et sa mère est malade, ce qui diminue grandement son autonomie. Quand son amie Catherine, dont il est secrètement amoureux, l’invite à s’impliquer au sein d’une organisation militante environnementale, il accepte avec joie. Mais les défis sont multiples. Solutions 3000 désire transformer l’ancienne mine en site d’enfouissement, ce qui perturberait l’écologie de la région. Par contre, la compagnie promet des emplois aux nombreux chômeurs de la communauté, dont le père d’Alain. Tiraillé entre ses valeurs, ses amis et sa famille, Alain devra faire preuve de beaucoup d’ingéniosité pour surmonter les épreuves qui se dressent devant lui.
L’écologie, les conflits familiaux. l’amitié, l’engagement politique des jeunes, l’accomplissement de soi, la précarité d’emploi, la maladie
14 ans +
Ce roman est une sorte de voyage initiatique, un passage vers la maturité obligé par les circonstances et les évènements historiques.
Nous sommes en 1890. Un jeune Dakota assiste impuissant au massacre de sa tribu par la cavalerie américaine. Hokshenah (Jeune-Garçon-qui-court) rencontre une jeune Cheyenne, Naha-Ichon (Les-Grands-Yeux). Ils ne se connaissent pas, mais le massacre dont ils ont été témoins leur indique la même route, celle du Nord, celle du Canada. Ils décident de la parcourir ensemble, malgré les embûches à franchir et les ennemis à leur poursuite. Au cours de cette marche vers la liberté, ils rencontrent un allié qui les aide à réaliser leur rêve. Grâce à cette terrible traversée d’épreuves, les deux adolescents du début du récit arrivent à la maturité affective, psychologique et sociale.
Nous sommes en 1890. Un jeune Dakota assiste impuissant au massacre de sa tribu par la cavalerie américaine. Hokshenah (Jeune-Garçon-qui-court) rencontre une jeune Cheyenne, Naha-Ichon (Les-Grands-Yeux). Ils ne se connaissent pas, mais le massacre dont ils ont été témoins leur indique la même route, celle du Nord, celle du Canada. Ils décident de la parcourir ensemble, malgré les embûches à franchir et les ennemis à leur poursuite. Au cours de cette marche vers la liberté, ils rencontrent un allié qui les aide à réaliser leur rêve. Grâce à cette terrible traversée d’épreuves, les deux adolescents du début du récit arrivent à la maturité affective, psychologique et sociale.
Le courage, le sens des responsabilités, la persévérance dans la poursuite de ses rêves et le respect de la nature. D’autres sous-thèmes se greffent à ceux-là, tels le pacifisme et le féminisme.
14 ans +
Normande et Gilles s’envolent vers la République dominicaine. Ils habitent le nord de l’Ontario et rêvent tous deux de ce séjour dans le Sud, mais pour des raisons fort différentes. Gilles rêve soleil, baignade et golf. Normande, elle, s’apprête à rencontrer Gabriella, une jeune femme avec qui elle correspond secrètement depuis deux ans et dont elle parraine le fils de 10 ans livré à la misère des bateyes dominicains. Car, Normande le sait maintenant, la République dominicaine n’a pas que des plages et des hôtels de luxe…
Le lecteur revit avec Normande les deux dernières années de sa vie et apprend comment elle s’est ouverte sur d’autres réalités. Il la suit ensuite quand elle s’aventure dans ces lieux étranges et dangereux que sont les bateyes dominicains où elle doit faire face aux conséquences de son audace et de son secret
Le lecteur revit avec Normande les deux dernières années de sa vie et apprend comment elle s’est ouverte sur d’autres réalités. Il la suit ensuite quand elle s’aventure dans ces lieux étranges et dangereux que sont les bateyes dominicains où elle doit faire face aux conséquences de son audace et de son secret
La peur, l’amitié, la violence sociale, l’ouverture à l’autre.
9 à 12 ans
Magalie trouve un premier message codé dans son sac à dos. Son ami William réussit à le déchiffrer, mais d’autres messages surgissent, plus complexes et plus bizarres que le premier. Magalie s’applique et réussit à son tour à les décoder, avec ou sans l’aide de William.
Très tôt, Magalie soupçonne Audrey, avec qui elle est en froid, d’être l’auteure de ces messages. Elle s’inquiète aussi de la présence d’un drôle de type qui dissimule son visage sous une tuque et un foulard, alors qu’on est seulement au début de l’automne! Et cette personne la suit. Elle en devient convaincue. Elle panique.
Magalie subit les rires du clan d’Audrey et s’attriste de la disparition soudaine de sa chatte Mistigris. Elle se dispute avec son amie. Les messages codés se multiplient. Tout va mal!
Un rendez-vous mystérieux lui est donné: elle doit se rendre dans la cour de l’école secondaire, un samedi après-midi. William, avec qui elle s’est réconciliée, l’accompagne; c’est là que le mystère s’éclaircit.
Très tôt, Magalie soupçonne Audrey, avec qui elle est en froid, d’être l’auteure de ces messages. Elle s’inquiète aussi de la présence d’un drôle de type qui dissimule son visage sous une tuque et un foulard, alors qu’on est seulement au début de l’automne! Et cette personne la suit. Elle en devient convaincue. Elle panique.
Magalie subit les rires du clan d’Audrey et s’attriste de la disparition soudaine de sa chatte Mistigris. Elle se dispute avec son amie. Les messages codés se multiplient. Tout va mal!
Un rendez-vous mystérieux lui est donné: elle doit se rendre dans la cour de l’école secondaire, un samedi après-midi. William, avec qui elle s’est réconciliée, l’accompagne; c’est là que le mystère s’éclaircit.
Complicité, amitié et angoisse.
9 à 12 ans
Les vacances d’été s’annonçaient paisibles pour Fannie et Cyril, jusqu’à ce que leur voisine d’en face, Adina Olaru, soit victime d’une violente agression. Les deux jeunes proposent alors de prendre soin des chats de Madame Adina jusqu’à son retour de l’hôpital. Or, à leur arrivée, ils trouvent l’appartement de leur voisine sens dessus dessous. En remettant de l’ordre dans le logement, ils découvrent des indices qui laissent croire que l’agression n’était peut-être pas un simple vol. Aidés par leurs amis, leurs parents et une policière résolue à résoudre le crime, Fannie et Cyril vont remonter la piste du mystérieux passé de Madame Adina, de son enfance en Roumanie dans une famille aisée à son départ du pays aux prises avec une dictature communiste.
L’entraide, les rapports intergénérationnels, l’immigration, le multiculturalisme, le communisme et les différents régimes politiques, et la participation des enfants aux tâches ménagères
9 à 12 ans
Ce roman se déroule en deux dimensions. L’une fait vivre Noémie, jeune ado de 13 ans. La seconde se passe dans les années 1920 et met en scène l’aviateur américain Charles Lindbergh.
Les parents de Noémie sont divorcés. L’adolescente habite Ottawa avec sa mère, une femme qui souffre de dépression chronique. Son père a travaillé plusieurs années à Tunis. Depuis deux ans, malgré son retour au Canada, à Montréal, il ne lui a pas donné signe de vie. Noémie a un rêve: devenir mime comme le grand Marcel Marceau. Mais sa mère s’y oppose.
Pour fêter le début de vacances d’été et le 1er juillet, elle décide, avec son ami Grégoire, de prendre un bain de foule et de s’amuser dans les rues de la capitale… À une mystérieuse marchande, elle achète une lunette «magique», et peu à peu découvre l’histoire de l’aviateur Charles Lindbergh. La vie et les exploits de cet aviateur l’aident à comprendre l’importance d’avoir des rêves et la nécessité de les transformer en projets. Divers événements surviennent dans sa vie familiale et amicale et lui permettent de mieux comprendre ses parents et de mieux se connaître elle-même. Elle trouve la force de poursuivre son rêve.
Les parents de Noémie sont divorcés. L’adolescente habite Ottawa avec sa mère, une femme qui souffre de dépression chronique. Son père a travaillé plusieurs années à Tunis. Depuis deux ans, malgré son retour au Canada, à Montréal, il ne lui a pas donné signe de vie. Noémie a un rêve: devenir mime comme le grand Marcel Marceau. Mais sa mère s’y oppose.
Pour fêter le début de vacances d’été et le 1er juillet, elle décide, avec son ami Grégoire, de prendre un bain de foule et de s’amuser dans les rues de la capitale… À une mystérieuse marchande, elle achète une lunette «magique», et peu à peu découvre l’histoire de l’aviateur Charles Lindbergh. La vie et les exploits de cet aviateur l’aident à comprendre l’importance d’avoir des rêves et la nécessité de les transformer en projets. Divers événements surviennent dans sa vie familiale et amicale et lui permettent de mieux comprendre ses parents et de mieux se connaître elle-même. Elle trouve la force de poursuivre son rêve.
Les rêves, les projets, l’affirmation de soi, la persévérance.
6 à 9 ans
Billy se demande ce qu’il deviendra dans la vie. Comme c’est un jeune garçon qui n’est pas tranquille, il pense à être acrobate puis aviateur. Mais c’est l’idée de devenir pirate qui l’enchante… Quand il trouve enfin le costume qu’il lui faut, son choix se précise et son imagination prend la relève de la réalité. Il part en quête d’un trésor.
La camaraderie, le goût de trouver des solutions et la persévérance.
12 ans +
Florence, quinze ans, déteste sa vie. L’été se termine et il est temps de retourner à l’école. Mais, cette année, rien ne va. Sa meilleure amie et voisine vient de déménager en Floride et c’est toute seule que Florence va devoir faire face à une école qui lui semble bien hostile. Heureusement, elle va se lier d’amitié avec Mélanie ainsi qu’avec Antoine, un mystérieux et beau jeune homme qui vient de s’installer avec ses parents dans la maison d’à côté. Antoine se fait de plus en plus présent dans la vie de Florence, mais un secret plane autour de lui. Pourquoi ses parents font-ils comme s’il n’existait pas? Pourquoi a-t-il des migraines répétées? Et pourquoi ne se souvient-il pas de l’accident de voiture ? Autant de questions et de changements qui font que, finalement, Florence ne risque pas de s’ennuyer cette année.
Le passage à l’âge adulte, l’amitié, l’amour, les rapports enfant-parent, la peur du changement, la quête d’identité
14 ans +
Abram a quatorze ans et il est très amoureux de Zaéma. Après l’école, il la raccompagne chez elle en lui tenant la main. Mais voilà, Zaéma est promise à un autre, un cousin bien plus riche qu’Abram. Il élabore alors un plan : quitter ce village de misère coincé entre les montagnes et le désert. Abram veut aller en France, s’acheter une voiture rouge flambant neuve et demander la main de Zaéma. Mais ce n’est pas si simple, car le sens de la famille et la religion pèsent lourd sur ses épaules. Même Moussa, l’oncle d’Abram, le grand voyageur qui a étudié en France, est revenu au pays pour rejoindre l’Armée de Dieu. Abram est tiraillé entre sa famille, la religion et son désir de liberté, et il devra faire un choix difficile, celui de se battre pour ne pas renoncer à l’amour ou accepter des conditions de vie médiocres.
La religion et la migration, l’amour, la tradition, les relations interpersonnelles, le sens du devoir, la guerre
14 ans +
Maurice Henrie aborde des sujets fort variés. Son style est le plus souvent léger ou sarcastique. L’auteur s’amuse et nous invite à nous amuser. Il ironise doucement, et l’œil qu’il jette sur les travers de la société peut tout aussi bien faire sourire, que faire réfléchir et inviter à la discussion.
Les changements de valeurs de notre société, les regrets, le vieillissement et la mort.
14 ans +
C’est le jour de l’enterrement de David Laflamme. À l’exception de Carmen, médecin qui habite la côte ouest américaine, toute la famille est au cimetière, ainsi que bon nombre de villageois. Chacun cherche à comprendre pourquoi cet homme encore jeune a mis fin à ses jours. Les deux frères de David, ses parents et sa sœur benjamine examinent – chacun pour soi – leurs liens familiaux, leur jeunesse et leur vie présente. Le lecteur peut donc, de pièce en pièce, assembler le casse-tête, recréer l’ambiance de la vie familiale des Laflamme, découvrir leurs rêves réalisés ou enfuis, et tenter de comprendre ce qui est arrivé à David. Quand, le soir de l’enterrement, une lettre anonyme arrive à la maison paternelle, on croit avoir enfin trouvé la clé de l’énigme…
Les rêves, le manque d’acceptation des différences, les liens familiaux
9 à 12 ans
Été 1942, dans le village ontarien d’Espanola. Après la mort des membres de sa famille dans un accident de voiture, Simon, un enfant trisomique est laissé aux «bons soins» de son oncle et de sa tante, propriétaire d’un chenil. Sous l’emprise de l’alcool, ces deux êtres violents et paresseux font de Simon leur esclave.
Julia, leur fille, s’attache peu à peu à son cousin et le protège du mieux qu’elle peut. Un prisonnier allemand, officier-médecin, qui aperçoit parfois le jeune garçon à travers les barbelés du camp, lui manifeste un peu d’amitié. Ses gestes silencieux assure un lien d’humanité dans le quotidien misérable et sans issue de Simon.
Julia, leur fille, s’attache peu à peu à son cousin et le protège du mieux qu’elle peut. Un prisonnier allemand, officier-médecin, qui aperçoit parfois le jeune garçon à travers les barbelés du camp, lui manifeste un peu d’amitié. Ses gestes silencieux assure un lien d’humanité dans le quotidien misérable et sans issue de Simon.
La différence (handicap), l’amitié et la violence.
14 ans +
Ce roman contient deux histoires qui se déroulent à des époques différentes et qui se rejoignent dans un climat de mystère.
Mateus (Mathieu) da Costa est peut-être un personnage historique, dont on ignore encore aujourd’hui bien des choses, y compris son origine exacte et les circonstances de sa disparition. Il aurait été le premier Noir recensé à faire partie de l’histoire du Canada dès le début. Africain, il aurait fait plusieurs voyages transatlantiques au tournant du 17e siècle et il aurait accompagné Samuel de Champlain lors d’un de ses voyages en Acadie.
Mario Estéban, lui, est un personnage fictif. Étudiant, il a connu les terribles années qui ont suivi l’avènement au pouvoir d’Augusto Pinochet, au Chili. Emprisonné sous ce régime, Mario a du mal à vivre avec la violence de ses souvenirs; il s’installe au Canada au tournant du nouveau millénaire. Informaticien au chômage, il rencontre Matt Lacoste, un agent de voyages, qui lui offre un contrat. Entre ces deux histoires séparées par 400 ans, des liens étranges se forment, se précisent, et à travers les « tunnels du temps », ces personnages poursuivent leur traversée des mondes…
Mateus (Mathieu) da Costa est peut-être un personnage historique, dont on ignore encore aujourd’hui bien des choses, y compris son origine exacte et les circonstances de sa disparition. Il aurait été le premier Noir recensé à faire partie de l’histoire du Canada dès le début. Africain, il aurait fait plusieurs voyages transatlantiques au tournant du 17e siècle et il aurait accompagné Samuel de Champlain lors d’un de ses voyages en Acadie.
Mario Estéban, lui, est un personnage fictif. Étudiant, il a connu les terribles années qui ont suivi l’avènement au pouvoir d’Augusto Pinochet, au Chili. Emprisonné sous ce régime, Mario a du mal à vivre avec la violence de ses souvenirs; il s’installe au Canada au tournant du nouveau millénaire. Informaticien au chômage, il rencontre Matt Lacoste, un agent de voyages, qui lui offre un contrat. Entre ces deux histoires séparées par 400 ans, des liens étranges se forment, se précisent, et à travers les « tunnels du temps », ces personnages poursuivent leur traversée des mondes…
Le voyage, la connaissance de soi (voyage intérieur), l’immigration (voyage extérieur), la recherche d’un sens à la vie et la continuité.
14 ans +
Christian est un jeune ado de 15 ans. Il aime les filles, le sport, les jeux vidéo et la télé. Un jour, une clé mystérieuse est déposée sur la commode de sa chambre. Une note lui révèle qu’il s’agit de celle du 13, rue Cartier, la maison voisine achetée trois mois plus tôt par des gens qu’il juge bizarres. Il est d’abord intrigué puis obsédé par cette « maison d’à côté» dont les habitants ne semblent exister qu’à la nuit tombée. Il décide d’aller visiter cette mystérieuse demeure. À l’école, dans la journée, il tombe près de la piscine. Comme prévu, il se rend tout de même au 13, rue Cartier et il vit là un voyage initiatique. L’explication de ce périple perturbant entre ciel et terre, entre mort et vie, lui sera finalement donnée. Mais il restera marqué à tout jamais par cette expérience.
La curiosité, l’adolescence, la connaissance de soi
9 à 12 ans
Ces contes font partie du folklore franco-ontarien. Ils ont été recueillis, à partir de 1948 par le père Germain Lemieux qui avait reçu de la Société historique du Nouvel-Ontario le mandat de parcourir cette région à la recherche de chansons, de contes et de légendes locales
Quête du bonheur et de la fortune
14 ans +
À Ottawa, la maison d’édition Callibaud jouit d’une renommée qui, au fil des décennies, est devenue internationale. Nicolas, le fils du fondateur a laissé son œuvre à ses deux fils. Christian, qui rêvait de liberté, a quitté la maison d’édition paternelle et s’est joint à la concurrence. À la mort du père, Gérard a donc repris, seul, l’institution. Tout bascule le jour où Gérard et sa femme sont assassinés. Christian doit reprendre les rênes de la maison qu’il a quittée. Deux policiers loufoques mènent l’enquête. Les événements se précipitent: un incendie au quartier général de la maison d’édition, des menaces, des tentatives de meurtres, des disparitions. Tout s’entremêle jusqu’au moment où éclate la vérité.
L’amour des livres, la fidélité et l’engagement.
9 à 12 ans
Michel vient de terminer son école primaire. Une autre école l’attend, pleine de défis, en septembre. Il se prépare un été des plus intéressants car ses parents, qui vont partir en voyage, le laissent aux soins de sa grande sœur qui ne pense qu’à parler avec ses copains et ses copines, au téléphone. Michel savoure déjà la liberté que cela lui permettra!
Mais, au dernier moment, tout chavire! Michel se voit envoyé plutôt chez son grand-père qui habite une ferme perdue dans la campagne. Lorsque Michel et sa mère arrivent dans la maison familiale, le grand-père est absent. Ils apprennent qu’il s’égare parfois parce qu’il perd de plus en plus la mémoire. Des voisins, quelques jours plus tôt, l’ont ramené juste à temps avant un gros orage. À la ferme, on attend un moment encore le vieil homme. En vain. La mère de Michel demande alors l’aide des policiers. Des recherches s’organisent. Michel et deux enfants du voisinage se lancent eux aussi à la recherche.du disparu. Après des moments de grande peur, de panique même devant des phénomènes mystérieux, Michel trouve enfin son grand-père. Cette expérience fait de l’enfant qu’il était, un jeune adolescent conscient de son courage et de ses talents.
Mais, au dernier moment, tout chavire! Michel se voit envoyé plutôt chez son grand-père qui habite une ferme perdue dans la campagne. Lorsque Michel et sa mère arrivent dans la maison familiale, le grand-père est absent. Ils apprennent qu’il s’égare parfois parce qu’il perd de plus en plus la mémoire. Des voisins, quelques jours plus tôt, l’ont ramené juste à temps avant un gros orage. À la ferme, on attend un moment encore le vieil homme. En vain. La mère de Michel demande alors l’aide des policiers. Des recherches s’organisent. Michel et deux enfants du voisinage se lancent eux aussi à la recherche.du disparu. Après des moments de grande peur, de panique même devant des phénomènes mystérieux, Michel trouve enfin son grand-père. Cette expérience fait de l’enfant qu’il était, un jeune adolescent conscient de son courage et de ses talents.
Le désir de s’affirmer, la peur, l’acceptation, le sens à la vie
14 ans +
Pour mousser la publicité de la compagnie aérienne Surfair, Tony Miller (alias Antonin Meunier) vend à son supérieur hiérarchique l’idée d’une commandite : un voyage d’amaigrissement pour un groupe d’obèses. À titre de bénévoles, les participants iront au Bénin, et, sous l’égide d’un organisme de coopération internationale, aideront à construire des maisons pour les démunis. Huit personnes s’inscrivent à cette aventure. Chacune pour des raisons bien personnelles. Tony devra les accompagner.
Sur le continent africain, participants et accompagnateurs découvriront d’autres coutumes, d’autres valeurs, d’autres manières d’être; ils créeront de nouveaux liens, et trouveront le courage de s’affranchir des liens passés qui les entravaient. Ce voyage s’avèrera pour presque tous un moment charnière de leur vie: une quête de soi, tout autant qu’une ouverture respectueuse aux différences. L’aventure béninoise ne profitera pas uniquement aux huit participants. Tony, en retrouvant un amour passé, réévaluera, lui aussi, sa manière de vivre.
Sur le continent africain, participants et accompagnateurs découvriront d’autres coutumes, d’autres valeurs, d’autres manières d’être; ils créeront de nouveaux liens, et trouveront le courage de s’affranchir des liens passés qui les entravaient. Ce voyage s’avèrera pour presque tous un moment charnière de leur vie: une quête de soi, tout autant qu’une ouverture respectueuse aux différences. L’aventure béninoise ne profitera pas uniquement aux huit participants. Tony, en retrouvant un amour passé, réévaluera, lui aussi, sa manière de vivre.
La connaissance de soi, l’acceptation de soi, l’ouverture aux différences et l’entraide
9 à 12 ans
Trois pièces. La valise: suite de méprises engendrées par la présence de valises de même type. La nouvelle gardienne: l’engagement d’une gardienne incompétente bouleverse la vie d’une famille. Une surprise pour la Saint-Valentin: les problèmes engendrés par la promesse de garder un secret
La méprises à partir d’informations partielles, l’incompétence, le poid du secret
14 ans +
Les nouvelles de ce recueil proposent chacune des personnages, des réalités et des époques différentes. Le lien ? Des femmes aux prises avec leur destin et leur identité dans des circonstances troublantes. Chacune de ces cinq nouvelles se situe au carrefour de l’Histoire et de la fiction. Chacune amène les lecteurs à réfléchir sur des thèmes précis qui font de C’était écrit, un voyage au centre de soi.
L’ostracisme et le rejet social dû à la différence physique, religieuse, sociale ou autre.
14 ans +
Émilie a été abandonnée par sa mère dans des circonstances assez floues. Échappée d’une famille d’accueil, elle vit dans les rues de New-York. La nuit, elle dort dans une cave. Elle élève deux rats, converse avec ses deux soeurs imaginaires, se bat avec d’autres enfants des rues, fréquente ses amis, le vieil Albert et Natha, qui a perdu la mémoire. Des sans-abri comme elle. Elle converse avec Ataniel, un être qui tient tout autant de l’ange gardien que de l’extra-terrestre. Pour survivre, elle fouille dans les poubelles. Elle a une obsession : retrouver sa mère disparue.
L’abandon, l’amitié, la violence.