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Amorragies
- 20 janvier 2016
- 128 pages
- 978-2-89699-494-6
- PDF, papier
- 13.95$
S’inscrivant dans la mouvance de l’écriture poétique postmoderne, et encore imprégné de l’influence de Gaston Miron, en particulier de « La marche à l’amour » (dans L’Homme rapaillé), le recueil Amorragies, de Daniel Groleau Landry, s’enrichit de la thématique identitaire : comment vivre « l’essentiel », dans un univers socioculturel où l’économique prime toute considération ?
Cette œuvre pose la question fondamentale : l’amour auquel on aspire, vers lequel on tend, pour lequel on vit, est-il humainement envisageable, ou fait-il partie des mythes surannés qu’une société résolument matérialiste s’évertue à déboulonner ?
Dans cette optique, Amorragies est une œuvre poétique axée sur l’exploration de la déchirure amoureuse, qui offre au scripteur la possibilité d’une rédemption : on sent que le poète, grâce à l’expérience du langage, qui lui permet de se délivrer, puise en son tréfonds, dans des sources qu’il ne connaissait pas, et dont il ignorait jusqu’à l’existence, l’élan, la pulsion, pour entrevoir une véritable renaissance.
Même si cette œuvre de Daniel Groleau Landry ressemble à une « plaie béante », qu’il aurait décousue, par un jeu narratif délibéré, il n’en demeure pas moins que le poète s’est livré tout entier, au profit de tous ceux qui n’ont pas la parole.
Mention d’excellence – Prix des écrivains francophones d’Amérique 2016
Finaliste – Prix littéraire Émergence-AAOF 2017
Cette œuvre pose la question fondamentale : l’amour auquel on aspire, vers lequel on tend, pour lequel on vit, est-il humainement envisageable, ou fait-il partie des mythes surannés qu’une société résolument matérialiste s’évertue à déboulonner ?
Dans cette optique, Amorragies est une œuvre poétique axée sur l’exploration de la déchirure amoureuse, qui offre au scripteur la possibilité d’une rédemption : on sent que le poète, grâce à l’expérience du langage, qui lui permet de se délivrer, puise en son tréfonds, dans des sources qu’il ne connaissait pas, et dont il ignorait jusqu’à l’existence, l’élan, la pulsion, pour entrevoir une véritable renaissance.
Même si cette œuvre de Daniel Groleau Landry ressemble à une « plaie béante », qu’il aurait décousue, par un jeu narratif délibéré, il n’en demeure pas moins que le poète s’est livré tout entier, au profit de tous ceux qui n’ont pas la parole.
Mention d’excellence – Prix des écrivains francophones d’Amérique 2016
Finaliste – Prix littéraire Émergence-AAOF 2017
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