arrow drop github menu close
Skip to content
Accueil Bientôt Auteur.e.s Livres Échos Extras

Les Éditions L'Interligne

Design et développement par Aponia

Nous trouver
À propos Nous contacter Droits | Rights Soumettre un manuscrit
Facebook Twitter Instagram

À paraître

Des silences et des murmures22 octobre 2025

Ce site Internet a été financé par le Conseil des arts du Canada et Ontario Créatif

À propos

Bientôt Auteurs Livres Échos Extras Droits Soumettre un manuscrit À propos Nous contacter
https://online.fliphtml5.com/oiga/idxp/mobile/index.html
#133e2e
#fbf6eb

Durant des années

  • Louis-Philippe Roy >
  • 3 septembre 2025
  • 171 pages
  • 978-2-89699-864-7
  • ePUB, PDF, papier
  • 21,95$
Au croisement de la dramaturgie contemporaine et du balado true crime, Durant des années nous immerge dans le Québec rural de 1999. Un village insulaire, perdu au milieu de la rivière des Outaouais, est le théâtre du mystérieux meurtre d’un adolescent. C’est à la recherche de réponses entourant cette tragédie que, vingt ans plus tard, une journaliste revient dans son patelin pour déterrer (et détourner) ce lourd passé. Mais c’est sans compter les traces laissées par cet événement sur la petite communauté. Jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour la gloire ? Après tout, certaines choses sont peut-être faites pour demeurer enfouies…

Entrez votre adresse ou utilisez la géolocalisation

Utiliser l'adresse ci-haut
Bibliothèque
Librairie
Nouvelle recherche

  • Feuilleter
  • Trouver une librairie

Ils s’en souviennent
Comme tout le monde ici se souvient d’Éric
Après sa disparition, une vague de déménagements a vidé Saint-Floribert
Mes parents faisaient partie du lot
« C’est mieux pour le futur de ta soeur et toi », qu’ils disaient
Plus personne de mon âge ne pouvait se voir en dehors des heures d’école
On devait respecter un couvre-feu
Bref, la peur avait contaminé les familles
« Il faut qu’on change d’air, que vous changiez de fréquentations », qu’ils nous répétaient
Mes parents ont fait nos boîtes à l’été 2000 et ne sont jamais revenus sur l’île