Le roman
Il ne s’appelle ni Jasmin ni Augustin ni Zéphirin. Et puis Zéphirin, ça ferait vieillot. Peu importe son nom à l’histoire ou à la vérité. Avec ces initiales, je lui ai façonné un nom d’emprunt. Je l’appelle Jaz. Ça lui garde un tendre anonymat.
Jaz, p. 1
Incapable de faire son deuil, un homme peint pour oublier son mal. Afin de profiter de son talent, l’aubergiste du coin l’invite à suspendre quelques tableaux dans son établissement jusqu’à ce qu’on exige du peintre un véritable vernissage. Dans le langage énigmatique des toiles, il y a quelque chose d’étrange qu’on ne sait expliquer. Pour certains, elles sont un confident, pour d’autres, un confesseur, un voyeur gênant. Ce peintre est-il charlatan ou magicien ? Pour quelle raison dissimule-t-il une arme sous son oreiller ? La fille de l’aubergiste viendra troubler sa vie et son œuvre. Quels sont les desseins de cette jeune femme ? Et, à l’Auberge de la Tourmente, qui était cet homme qui étudiait le génie de l’artiste ?
Un roman palpitant où l’art et l’amour tentent de démasquer le mystère de la vie.
- Roman, 192 pages
- ISBN papier 978-2-89699-812-8
- ISBN PDF 978-2-89699-813-5
- ISBN EPUB accessible 978-2-89699-814-2
L’auteure
Michèle Vinet cumule les prix : quatre romans (publiés chez Prise de parole et L’Interligne) se sont mérité onze mises en nomination et quatre prix littéraires : le Prix Trillium, le Prix Émile-Ollivier (Conseil supérieur de la langue française), le Prix littéraire Le Droit et le Prix du livre d’Ottawa. Elle vient de remporter un Prix d’excellence de la Faculté des arts 2024, de l’Université d’Ottawa, pour l’ensemble de son œuvre
L’auteure offre des ateliers de créations littéraires pour le grand public et la Bibliothèque publique d’Ottawa, dans les écoles, les universités, en centres communautaires, en milieu carcéral, dans le domaine de la santé mentale et pour Amnistie Internationale.
Remise des prix
Les lauréats seront annoncés le mercredi 16 octobre 2024 !