Chloé Leduc-Bélanger, nouvelle directrice générale des Éditions L’Interligne

Le conseil d’administration des Éditions L’Interligne est fière d’annoncer l’arrivée de Chloé Leduc-Bélanger en tant que nouvelle directrice générale à partir du 13 janvier 2025. Cette nomination marque un tournant très enthousiasmant pour la maison qui se tourne résolument vers l’avenir.

Touche-à-tout du milieu du livre, Chloé apporte une expertise diversifiée et une passion indéfectible pour le milieu du livre franco-canadien. Elle a ainsi occupé des rôles clés tels qu’éditrice, libraire, critique, chroniqueuse, animatrice, romancière et poète. Ancienne éditrice aux Éditions Prise de Parole (Sudbury), elle a piloté la production de plus de soixante-dix ouvrages, tout en développant des projets novateurs et en représentant l’organisme sur les scènes littéraires nationales. Elle a également été libraire à la librairie Panache, et rédactrice en chef du défunt webzine Les Méconnus. Elle est titulaire d’un DESS en édition de l’Université de Sherbrooke et complète présentement une maîtrise en littérature à l’Université du Québec à Rimouski.

Dans les livres, on trouve de tout, et en premier lieu le bonheur! C’est avec joie que je prends la relève à titre de directrice générale des Éditions L’Interligne et que j’intègre la communauté artistique ottavienne. La littérature franco-canadienne est riche et belle, et je m’engage, dans le sillage de mes prédécesseurices, à œuvrer à son rayonnement au pays et au-delà. – Chloé Leduc-Bélanger, directrice générale

Sa vision stratégique, son dynamisme et son engagement envers les auteurices et la communauté littéraire renforceront sans aucun doute la mission de L’Interligne : célébrer, promouvoir et diversifier la littérature franco-canadienne.

Les Éditions L’Interligne
261, chemin de Montréal, suite 310
Ottawa (ON) K1L 8C7
[email protected]
www.interligne.ca
facebook.com/linterligne
twitter.com/linterligne

Poste de directrice générale ou directeur général

L’Interligne est à la recherche d’une directrice générale ou d’un directeur général.

L’Interligne une maison d’édition franco-ontarienne constituée en organisme à but non lucratif.

Fondée en 1981, L’Interligne est un repère de la scène littéraire nationale et demeure engagée à promouvoir la littérature franco-canadienne et à contribuer au rayonnement du milieu des arts et de la culture à plusieurs niveaux.

Titre du poste : Direction générale

La direction générale est responsable de la mise en oeuvre de la planification stratégique de L’Interligne. Ses responsabilités incluent, entre autres :

  • Gestion des ententes de subventions et des relations avec les bailleurs de fonds
  • Représentation de L’Interligne auprès des interlocuteurs pertinents et partenaires nationaux et provinciaux
  • Encadrement de l’équipe de soutien et autres collaborateurs
  • Élaboration et supervision de la mise en oeuvre de la programmation éditoriale
  • Entretien des relations avec le milieu littéraire et avec les auteurs et autrices, les membres des comités de lecture, etc.
  • Appui du conseil d’administration par des mises à jour pouvant influencer les orientations stratégiques
  • Gestion et suivis budgétaires conformément aux paramètres en vigueur
  • Positionnement stratégique et rayonnement de L’Interligne
  • Définition des stratégies de commercialisation et de promotion des publications et des auteurs et autrices (lancements, salons du livre, etc.)

Profil recherché

  • Baccalauréat dans un domaine pertinent et au moins cinq années d’expérience en gestion, idéalement dans le milieu des arts ou de l’édition, ou au sein d’un organisme sans but lucratif
  • Très bonnes connaissances du milieu de l’édition et de la chaîne éditoriale, de préférence en contexte francophone minoritaire
  • Excellente maîtrise du français écrit et bonne culture générale
  • Expérience de la préparation de demandes de subvention
  • Expérience de la supervision de personnel
  • Excellentes compétences organisationnelles et bon sens des priorités
  • Capacité à travailler sous pression et à mener plusieurs projets de front
  • Leadership et capacité à travailler en équipe
  • Une expérience dans un poste similaire sera considérée comme un atout.

Conditions de travail

  • Salaire annuel de 67 000 $ qui pourra être bonifié après un an en fonction des capacités financières de l’organisme
  • Quatre semaines de congé annuel
  • Travail en mode hybride (à négocier avec le conseil d’administration)
  • Régime d’assurances collectives dès l’entrée en poste
  • Lieu de travail dans de beaux bureaux situés dans le vieux quartier de Vanier (Ottawa).

Veuillez faire parvenir votre curriculum vitae accompagné d’une lettre de présentation à l’attention du président du conseil d’administration des éditions L’Interligne à [email protected] au plus tard le 31 octobre 2024.

L’Interligne est un employeur inclusif. Nous encourageons les candidatures des personnes appartenant à des groupes visés par l’équité.

Nous remercions tous les candidats et toutes les candidates pour leur intérêt, nous ne communiquerons, cependant, qu’avec ceux et celles qui auront été retenu(e)s pour une entrevue.

Jaz, de Michèle Vinet, en lice aux Prix du livre d’Ottawa 2024 !

Le roman

Il ne s’appelle ni Jasmin ni Augustin ni Zéphirin. Et puis Zéphirin, ça ferait vieillot. Peu importe son nom à l’histoire ou à la vérité. Avec ces initiales, je lui ai façonné un nom d’emprunt. Je l’appelle Jaz. Ça lui garde un tendre anonymat.

Jaz, p. 1

Incapable de faire son deuil, un homme peint pour oublier son mal. Afin de profiter de son talent, l’aubergiste du coin l’invite à suspendre quelques tableaux dans son établissement jusqu’à ce qu’on exige du peintre un véritable vernissage. Dans le langage énigmatique des toiles, il y a quelque chose d’étrange qu’on ne sait expliquer.  Pour certains, elles sont un confident, pour d’autres, un confesseur, un voyeur gênant. Ce peintre est-il charlatan ou magicien ? Pour quelle raison dissimule-t-il une arme sous son oreiller ? La fille de l’aubergiste viendra troubler sa vie et son œuvre. Quels sont les desseins de cette jeune femme ? Et, à l’Auberge de la Tourmente, qui était cet homme qui étudiait le génie de l’artiste ?

Un roman palpitant où l’art et l’amour tentent de démasquer le mystère de la vie.

  • Roman, 192 pages
  • ISBN papier 978-2-89699-812-8
  • ISBN PDF 978-2-89699-813-5
  • ISBN EPUB accessible 978-2-89699-814-2

Feuilleter le livre

L’auteure

Michèle Vinet cumule les prix : quatre romans (publiés chez Prise de parole et L’Interligne) se sont mérité onze mises en nomination et quatre prix littéraires : le Prix Trillium, le Prix Émile-Ollivier (Conseil supérieur de la langue française), le Prix littéraire Le Droit et le Prix du livre d’Ottawa. Elle vient de remporter un Prix d’excellence de la Faculté des arts 2024, de l’Université d’Ottawa, pour l’ensemble de son œuvre

L’auteure offre des ateliers de créations littéraires pour le grand public et la Bibliothèque publique d’Ottawa, dans les écoles, les universités, en centres communautaires, en milieu carcéral, dans le domaine de la santé mentale et pour Amnistie Internationale.

Remise des prix

Les lauréats seront annoncés le mercredi 16 octobre 2024 !

À propos du Prix du livre d’Ottawa

Champagne ! Mlimani Éditions acquiert J’irai danser sur la tombe de Senghor, de Blaise Ndala, en vue du marché de la République démocratique du Congo !

En 10 ans, Blaise Ndala a empilé un si grand nombre de réussites, qu’il s’est hissé parmi les écrivain·e·s incontournables de la scène littéraire internationale. Acquis par Vents d’ailleurs, une maison d’édition française, traduit en russe (Bookland Press, Canada), J’irai danser sur la tombe de Senghor fait actuellement l’objet d’une adaptation cinématographique par le réalisateur Français Rachid Bouchareb, ainsi que d’une traduction en langue anglaise par Other Press, une maison d’édition de New York (É-U).

La parole à l’auteur

L’Interligne : Blaise, cette acquisition par Mlimani, doit représenter beaucoup pour toi, non ?

Blaise Ndala : C’est difficile de mettre des mots sur la charge symbolique derrière ce contrat. Parce que c’est mon premier livre; parce que c’est une maison d’édition congolaise qui s’apprête à le publier; parce que, de ce que m’ont appris les éditeurs congolais, cela fait suite à un sondage qu’ils ont réalisé localement, auprès de leur lectorat, pour savoir « quel roman publié par un.e auteur.e d’origine congolaise Mlimani Éditions devrait privilégier dans la perspective d’un rachat de droits ». J’ai longtemps rêvé de me rapprocher du lectorat de mon pays de naissance, et de voir ce rêve se réaliser pour le dixième anniversaire de « J’irai danser sur la tombe de Senghor », est le plus beau cadeau que le monde du livre africain aurait pu m’offrir. Je remercie mes éditeurs canadien et congolais de porter si loin ce roman.  

L’œuvre

« […] ce qui lui donne sa force et son originalité, c’est la manière dont l’auteur se met dans la peau de Modero, un jeune et talentueux musicien qui quitte son village de Banza pour tenter sa chance dans une ville où le chanteur Zaïko Langa Langa règne en maître. Finalement Mohamed Ali, superbement évoqué, n’est plus qu’un prétexte : ce qui apparaît dans ce livre, c’est une savoureuse évocation de Kin la Belle avec ses musiciens, ses bars, ses superstitions. »

Le Soir, « Le combat du siècle… pour défier Senghor ! », Colette Braeckman

J’irai danser sur la tombe de Senghor est maintenant disponible en version audio

Lui

Originaire du Congo (RDC), pays qu’il quitte en 2003 pour poursuivre des études de droit en Belgique, Blaise Ndala vit au Canada depuis 2007. J’irai danser sur la tombe de Senghor, son premier roman, a paru en 2014.

Écouter les propos de l’auteur dans son récent balado, Blaise Ndala : l’élégance sans prétention

MLIMANI

https://www.mlimani-editions.com/qui-nous-sommes

Roulement de tambour : Jaz, de Michèle Vinet, finaliste au Prix Alain-Thomas !

Michèle Vinet figure parmi les trois finalistes au Prix Alain-Thomas, avec son dernier roman, Jaz. Rien d’étonnant : remarquées, une fois de plus, les œuvres de Michèle Vinet récoltent, à tout coup, les honneurs littéraires.

Personne ne parle mieux de son œuvre que l’auteure

S’il est passé, le temps, Jaz ne l’a pas vu. Son temps à lui est tout autre. Il ne passe pas, il reste. De son or, de son ivoire, il s’incruste dans les os, dans le regard, dans le geste de son artiste. Il se colle à la toile, la caresse de ses infinis doigts, s’y glisse en feu-follet ou s’y répand, acide fumant, comme un ogre insatiable, bave et crocs et colliers d’osselets.

Jaz : un roman palpitant où l’art et l’amour tentent de démasquer le mystère de la vie.

« Ce récit haut en couleur et frôlant la poésie a de quoi subjuguer le lecteur dès les premières lignes. Les intrigues esquissées au tout début captent l’attention et tiennent en haleine jusqu’à la conclusion. »

« Quand un tableau vaut mille sentiments », Maël Bisson, pour le REFC.

Elle

Michèle Vinet a publié quatre romans qui se sont mérités neuf mises en nomination et quatre prix littéraires : le Prix Trillium, le Prix Émile-Ollivier, le Prix littéraire Le Droit et le Prix du Livre d’Ottawa.

Pour en savoir davantage sur l’œuvre et l’auteure

Feuilleter l’œuvre finaliste

Écouter le plus récent balado avec Michèle Vinet, Carte blanche 

La cérémonie

Le·a gagnant·e du Prix Alain-Thomas sera dévoilé·e lors de l’ouverture officielle du Salon, le 29 février.

Dévorés, passé au rang de best-seller !

Paru en 2018, Dévorés, le premier roman de Charles-Étienne Ferland, a largement dépassé le cap des 3 000 exemplaires vendus, pour se hisser au rang des bestsellers.

« Officiellement, Dévorés est un roman d’anticipation post-apocalyptique. Mieux vaut dire que c’est un très bon suspense, pour rassurer les lecteurs qui seraient méfiants du genre. Car ce roman vaut la peine d’être lu ! (…) On croit comprendre que l’auteur prépare une suite. C’est grandement souhaité. »

Journal de Montréal, « Un Montréal post-apocalyptique », Josée Boileau

Feuilleter

La version audio

Alexis Rodrigue-Lafleur, lauréat du Prix littéraire émergence AAOF 2023 !

Alexis Rodrigue Lafleur a fièrement remporté le Prix littéraire émergence AAOF 2023 pour son roman Rêve-Creux.

Voici l’opinion du jury : « De ce roman à la forme singulière, on retient des dialogues vivants, des personnages authentiques, un humour grinçant. Une petite famille surmonte une épreuve des plus étonnantes, et nous entraîne avec elle dans des situations aussi inquiétantes que comiques, donnant lieu à des questionnements existentiels qui reflètent merveilleusement l’esprit de notre époque. »

Pour en savoir plus sur Rêve-Creux, cliquez ici

Nos plus vives félicitations à Alexis Rodrigue Lafleur !

À propos du Prix littéraire émergence AAOF : « À travers des initiatives telles que son Prix littéraire émergence, l’AAOF favorise l’émergence de nouveaux talents littéraires francophones en Ontario, et joue ainsi un rôle essentiel dans le développement de la scène littéraire en français au sein de la province. »
Source

L’Interligne au Salon du livre de Montréal !

Allez à la rencontre de Michèle Vinet, auteure de Jaz, David Ménard, auteur de L’aurore martyrise l’enfant, Charles-Étienne Ferland, auteur de Dévorés et de Alexandre Yergeau, auteur de Exhumez-moi Je vous appartiens.

Séances de dédicaces de Michèle Vinet

  • Vendredi 24 novembre 14h-16h
  • Samedi 25 novembre 12h-14h
  • Dimanche 26 novembre 13h-15h

 Séances de dédicaces de David Ménard

  • Vendredi 24 novembre 18h-19h
  • Samedi 25 novembre 15h-16h

Séances de dédicaces de Charles-Étienne Ferland

  • Samedi 25 novembre 15h-17h
  • Dimanche 26 novembre 13h-15h

 Séances de dédicaces d’Alexandre Yergeau

  • Jeudi 23 novembre avec des séances à 11h, 15h et 19h

Le Salon aura lieu du 23 au 27 novembre, au Palais des Congrès de Montréal (1001 PI, Jean Paul Riopelle, Montréal).

Retrouvez-nous au kiosque 2305 !

Pour en savoir plus sur le Salon du livre de Montréal